« Elle, Lui, Eux »--07.08.2009 |
Le décor se dresse... Je contemple, et ne cesse, … Elle, Passagère blessée, fallacieuse déesse indomptée, décomposant méthodique un à un les petits atomes du plaisir dans cette danse libertaire sans dessus dessous… Sa douce raison écorchée vive, liaisons épidermiques, lampées d’effluves de leurs deux corps harassés. Décorée de cette gaucherie mièvre, perdant ses j-eux, ses maux, son as de cœur version vaudeville. Ses escarmouches tellement elle suffoque d’émotions. En perdition, vers un monde d'atomes crochus. Ses mots, idées, sa chair de chiffe molle, et son cœur palpitant s’affolent dans ce capharnaüm, … Assise à sa place d’Homme… elle ne cesse de … mais voilà … ne trouve le mot juste… Juste … Renverse, tombe… et semble aimer ça. Lui, Diantre… qu’il est beau … Surtout ne pas faire de bruit. Examinez leurs petits éclats miroitants, ces reflets de leurs dévotions. Alors que ce prisme, improbable potion magique, quelque soit les facettes nous donne en pâture des faisceaux qui coïncident à une insolite perception provocante, je divague, discerne. Peut être est-elle rêveuse, ou lui fossoyeur d’été, mourir en aout ? ou quoi d’autre, je m’en fou à vrai dire, car ils sont comme les fragments de ces répliques que l’on pique dans ces films qui nous font rêver...
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